Saturday, August 28, 2010

Une anecdote de drummer

F. J., notre blondinet Bon Jovi-esque local, jadis drummer d'un band de chevelus dreamy à deux lettres des années 80, également un coké notoire, semble avoir eu des moments assez rough autour de 1992.

On me dit qu'il volait des cymbales au Archambault, les signait et allait les vendre pour s'acheter de la poudre!

Il a fini par se faire pogner, mais puisqu'il était chummy avec le boss du Archambault, ce dernier l'a laissé partir... avec les cymbales!

Yep, champion.

Une anecdote pas cool d'un membre d'un groupe d'humour

Ouin. Celle-là me fait vraiment pas rire.

J'ai appris hier de source vraiment très sure qu'il y avait eu des frictions entre un membre de R., un des meilleurs groupes d'humoristes de l'histoire du Québec, et le reste du groupe un peu avant un comeback qu'ils devaient faire il y a quelques années parce qu'il avait eu du trouble pour son implication dans le scandale de prostitution juvénile qui concernait aussi Robert Gillet.

Je veux pas le nommer parce que c'est beaucoup trop sérieux, mais disons que je peux vous dire que c'est pas mal celui dont la carrière suçe le plus. Pensez voice-over.

Ew. Moi j'adore ce groupe.

Anyway il semblerait que ça aie ruiné la réunion des R. qui était prévue et que les trois autres membres n'ont plus de contact avec lui depuis. On peut les comprendre de rien vouloir avoir à faire avec un monsieur qui consomme de jeunes mineures forcées de se prostituer par un osti de gang de rue sale.

Je suis fâchée, triste, écoeurée.

Une autre anecdote d'É. L.

Pourquoi, donc, quelque chose me dit qu'on n'a pas fini d'en sortir, des anecdotes de lui? Vraiment, quel champion. Il s'agit bien évidemment de notre rockeur national, notre toxon favori, É. L.

Ok alors celle-là m'a été rapportée par quelqu'un qui partageait jadis un local de répétition avec É. et qui avait l'incroyable malchance de passer APRÈS lui. On m'a dit qu'à plusieurs reprises, il arrivaient et pognait É. en train de se tirer une pisse dans la cage d'escalier à côté de la porte du local. On s'entend, la porte INTÉRIEURE!

Il semble qu'É. soit a) trop lazy pour aller à la toilette dix pieds plus loin ou b) pense que le band suivant se sentira flatté de trouver un rond de pisse d'É. bien frais sur le tapis en-dessous du drum.

Moi je penche plutôt vers c) c'est un gros colon qui sait pas boire.

Friday, August 27, 2010

Deux autres anecdotes de sexshop

Oui!

Voici le moment où on vous donne des détails semi-précieux sur les habitudes de crosse de vos vedettes préférées! Si vous aimez pas le TMI, allez prendre une petite marche.

Un soir, il y a de cela quelques années, plusieurs français tentaient de convaincre une jeune blonde d'entrer au sex shop. Elle entra finalement à reculons. Elle et ses amis prirent quelques photos de l'un d'eux avec un cock en caoutchouc géant à côté de la face. Elle était mineure.

C'était L., jeune chanteuse pop française qui data jadis un grand crooner queb aux oreilles décollées, et ses danseurs, et lors du show ce soir-là, on projeta la photo du danseur avec l'énorme cock de caoutchouc sur les écrans géants.

Last but not least, ma préférée du lot, on m'a appris tantôt que notre cher M. L., motivational speaker, comédien de théâtre d'été et grand champion des annonces étranges de bracelets, dont la fille est étonnamment canon, est un très grand consommateur de magazines de weird porn de fisting allemande. EPIC!

Une presque anecdote d'É. L. encore

On a reçu ce fantastique courriel:

"É. L., chanteur local hyper connu et follement coké, est venu pisser au petit Medley sur Saint-Hubert pendant les derniers matchs des Canadiens de Montréal de la série 2009-2010. Je le sais parce que j’étais la et j’ai même hésité à manger la puck qu'il y avait dans l’urinoir pour avoir un buzz à la É."

Hahah!

Une anecdote d'É. L.

Apparence que É. L., notre plus grand chanteur bouffi, court dur pattes et saoul, n'a pas vraiment arrêté de boire. Il a été vu ce printemps au Verres Stérilisés, bière en main jouant aux machines à sous, vers 1h du matin.

Il a fini par partir vers 2h45 après que le barman lui ait dit que beaucoup de gens l'avait remarqué. C'était d'ailleurs fantastique de voir l'expression faciale des gens passer de ''Hey! C'est tu É. L. aux machines?'' à ''Isssh fuck y'a ben l'air magané É. L. aux machines''

Thursday, August 26, 2010

Une anecdote de S. R.

Well, c'est rien de bien embarrassant, mais moi j'aime savoir que S. M., acteur semi-sérieux chauve des annonces de pharmacie, est un gros party animal saoulon pas fiable. Je vous la donne dans l'intégrale.

"Je travaillais sur un court-métrage dans lequel il tenait le rôle principal. On devait faire 5 journées de tournage. Les deux premières journées avaient été so-so, S. oubliait très souvent son texte et n'était pas trop sérieux.

Le troisième jour de tournage avait lieu dans le building de TVA, un étage complet avait été loué pour l'occasion. L'équipe arrive tôt, prépare les lieux, l'équipement, etc. Après quelques heures de préparation, on se demande: Où est S.? Pas de nouvelles, il ne répond pas au téléphone et son agent ne sait pas où il est...

On envoie des gens à sa recherche, mais rien. La journée est finalement annulée, et on apprend que S. n'avait pas dormi chez lui, et qu'il avait passé la nuit à faire la fête. Le tournage est remis plusieurs mois plus tard...et est en nomination pour un Jutra!"

Tsk tsk, S. R.

Une anecdote de B. R.

Ça se passe il y a quelques années, dans le Première Moisson sur la rue Masson. B. R., le dude de "Le cas R." (personnellement j'ai dû le googler), entre et commande un cappuccino. Le gars à la caisse est nouveau, il veut pas le rater, donc il demande à la madame qui fait son training de s'en occuper. Elle et Benoit parlent un peu, le gars comprend qu'il est un client régulier.

Il boit sa première gorgée, et scandale! Il crie haut et fort dans le Première Moisson:

"C'EST LA PIRE MARDE QUE J'AI JAMAIS BU! C'EST QUOI CE CAFÉ DÉGUEULASSE-LÀ? TU VAS M'EN FAIRE UN AUTRE ET PIS TU-SUITE!"

La grosse crise en levant les bras et en cherchant des yeux des gens pour l'écouter, alors que la majorité des autres clients devaient le trouver vraiment chiant. La serveuse dit rien, lui en fait un autre, et il part. Le nouvel employé capote, il va voir la fille pour lui demander si elle est correcte, et elle lui répond:

"Ben oui, ça va. Tsé B., il est comme ça, ça fait plusieurs années qu'on se connait, et il fait toujours son difficile..."

Well. Plusieurs années? J'hésite à voir si on devrait lui donner un peu de crédit puisqu'il semble qu'il n'a pas attendu de devenir "connu" pour devenir un gros cave.

Crier après la barista, c'est vraiment loser. B., tu es LOIN d'être famous pour pouvoir te permettre ça.

Wednesday, August 25, 2010

Une anecdote de P. B.

J'ai vu ce cher P. B., humoriste, comédien et former euhm... on va dire "Vert Menthe", sortir du salon de "massage" Aux Quatres Mains sur Ontario Est à quelques reprises d'un air détendu mais regardant par terre avec intensité. Souvent tôt le matin.

J'ai surement pas besoin de vous expliquer le genre de massage qu'on y fait.

Une anecdote de B. D.

B. D. , onomatopée de son prénom, est dans un bar où la waitrice est quelqu'un qu'on connait. B. D. porte, rappelons-le, LE PINCH. Chanteur dans un band qui signifie bisbille, cheveux récemment coupés.

Il s'assoit, commande, et s'impatiente.

Quand la serveuse passe à côté de lui, il dit: "Hey tites fesses, quand B. veut une biééére, c'est tu-suite!"

Euh oui. TITES FESSES, et parler de soi à la troisième personne.

B... pas bravo.

Mais bon. Ayons confiance que la vie saura bientôt lui prouver à quel point il n'a pas raison de se prendre ainsi au sérieux. Espérons qu'il aura bien profité de ses deux secondes de fame parce que...